L’EMPREINTE DU VUE

Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir très persisté les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le essence, porté par les rafales nocturnes, dessinait à la surface du sable des courbes, des cercles, des formes brisées. Ces fournisseurs éphémères devenaient, n'importe quel matin, le fondement d

En cliquant, elle a été projetée dans un évenement de son passé. Elle se revit, adolescente, debout marqué par la pétard, empruntant la voie de une jour vacillante des étoiles. Ce moment lui revint brusquement en souvenance : elle s’était grandement demandé ce qu’était cette clarté, mais elle n’avait jamais trouvé d’explication